inside triathlon
Autant d'éléments qui en font un de mes triathlons préférés. Paradoxalement, je n'ai participé qu'à une seule édition, où j'ai cassé la baraque! Mon classement à la fin de l'épreuve indiquait 5éme au scratch, mais cela je ne le savais pas sur le moment, c'est le lendemain que mes collègues du LCT (La ciotat triathlon) m'apportent une coupure de la var provence m'informant de l'exploit. J'ai même un ancien collègue d'Oyonnax en villégiature dans la région qui m'a félicité a postériori. Je ne suis pas devenu super akuna en mangeant une cacahuète magique tel Dingo, mais les joies de la RFID expliquent le bond de ma performance. Cette année, j'ai hérité par inadvertance de la puce de Gilles Reboul, triathlète de haut niveau.
Anecdote croustillante, qui m'a permis de faire le cador (au moins une semaine) au club. Les plages du mourillon offrent un paysage immuable, une vraie carte postale sortie de l'imaginaire collectif.
L'organisation a su tirer les enseignements des années précédentes, la distribution des dossards (autrefois embouteillée) est très bien rodée et sans accroc, preuve que les organisateurs améliorent encore leur (déjà excellent) niveau.
Ravitaillement de puces ci dessous (à mettre surla cheville gauche), le process est "seamless": chapeau!